Ce qui a commencé à 4 mains chez Jean-marie est arrivé à dix mains.......
qui continue ?
Voici déjà le premier jet, à compléter chez
Jean-Marie, en lui laissant
4 vers en commenaires, pas trop bancales, quand même.............
la diane sonnait dans les cours des casernes
le vent frais du matin soufflait sur les lanternes
dans son bel uniforme il rêvait le sergent
à son bel officier à ses galons d'argent
le songe ressemblait à la pâle lumière
mais il prenait du corps et de belle manière
et le soldat rêvait à d'autres lieux
rêvait sous d'autres cieux,
il voulait Aimer puissamment,
Soupirer languissamment
malgré son esprit un peu rebelle
à l'amour rester fidèle
le pauvre sergent esseulé
au souvenir des lanternes de sa jeunesse
ressent un élan de tristesse
devant tant d'années écoulées
loin de toute critique
il voudrait vivre sous des cieux
où s'ouvrirait un avenir radieux
où il n'y aurait rien de cynique...
Oublier les galons l'uniforme
Plus d'officier, juste un homme
Partir vers un ailleurs moins terne
danser sans fin sous les lanternes
il voudrait vivre une vie
qui donne à son envie
de jouir en beauté
l'aile de liberté
Liberté, comme une vague
qui enfle, sans fin
tel un navire qui largue
ses amarres, enfin